- VELVING - Histoire et Généalogie d'un village au Pays de Nied

- VELVING - Histoire et Généalogie d'un village au Pays de Nied

1914-1918 Militaires de Velving engagés dans la Grande Guerre

 

 

Centenaire de la Grande-Guerre oblige, il m’a paru opportun de rechercher les jeunes gens de Velving ayant fait don de leur personne au cours du premier conflit mondial. Les sources concernant les soldats français tombés ou blessés sont abondantes, mais n’oublions pas que notre région d’Alsace-Moselle faisait parti du Reichsland Elsass-Lothringen entre 1871 et 1918 et que leurs enfants furent de nationalité allemande. A travers les sources allemandes, je retrace ici les gens incorporés dans l’armée allemande nés entre 1888 et 1898 à Velving dans les régiments originaires de Prusse, du Wurtemberg , de Bavière, de Hesse ou de Bade. Ces sources retracent les pertes (soldats blessés, disparus ou tombés avec leur régiment d’ incorporation). Ils nous signalent également la gravité de la blessure.

 

 

1. BRAUSSEN Johann (Jean)

                     

Né le 5 avril 1898 à Velving

Décédé le 1er septembre 1962 Velving

Fils de Philippe BRAUSSEN et SCHNEIDER Marguerite

1er mariage le 18 février 1935 à Marange-Zondrange avec OSTER Marguerite

2ème mariage le 6 février 1948 à Freistroff avec HOMBOURGER Jeanne Marie

 

Régiment : Infanterie-Regiment Nr 419 11. Kompagnie

Situation : Porté manquant le 09/01/1919  (Liste des victimes Nr 1886 du 09/01/1919)

Le 419ème  régiment d’infanterie était basé à Windsdorf, près de Berlin,  où les nouvelles recrues reçurent leur formation puis  le régiment rejoignit les tranchées près de Riga en Russie. Après la signature de l’armistice entre la Russie et l’empire allemand, le régiment fut incorporé à partir du 12/02/1917 à la 92ème division d’infanterie et a combattu entre le 29/12/1918 et le  12/01/1919 en Ukraine en menant des attaques sur la voie ferrée Poltawa-Jogotin-Kiev.

Il existe le témoignage d’un soldat incorporé en décembre 1916 dans ce même 419ème Infanterie Régiment, lorrain originaire de Kanfen comme BRAUSSEN Jean, Jean WEBER est né le 11 avril 1897 à Kanfen, dont extrait ci-joint :

 

Souvenirs de Jean WEBER

Infanterie Régiment Nr 419, Infanterie Regiment Nr 354 (1916-1918)

 

Je suis né à Kanfen, près de Thionville, dans le nord du département de la Moselle. Nous parlions

un dialecte Luxembourgeois, bien qu'étant Lorrains. Nous étions à la moisson près de l'église de

Kanfen quand la guerre fut déclarée. Nous pressentions un peu sa venue, mais la nouvelle nous

surprit. Les femmes se mirent à pleurer et les gens se sont sauvés des champs. Les réservistes ont

été très vite rappelés et l'on s'achemina vers le conflit. Les jours suivants, des troupes Allemandes

transitèrent par le village. Les cuirs des harnais des chevaux étaient absolument neufs, et le soir,

le café ne désemplissait pas de joyeux soldats qui fêtaient l'entrée en guerre.

J'ai un frère qui est parti en 1915. En 1916, lors de la bataille de Verdun, on entendait jour et nuit

le tonnerre des canons. Je partis en décembre 1916, du côté de Windsdorf, près de Berlin, où je

fus incorporé au 419e Régiment d'Infanterie. Pendant six semaines, nous suivîmes notre

formation militaire ; nous dormions dans de grands baraquements, construits sur des terrains

sableux. Il y avait environ dix à quinze Alsaciens-Lorrains par compagnie.

Après cette formation, je rejoignis les tranchées, près de Riga en Russie. La vie était difficile dans

les tranchées, malgré le calme du front. En hiver, les bottes gelaient et on avait de la peine à les

enlever. Quand on partait monter la garde aux avant-postes, on disposait d'un vêtement en peau

de mouton, que l'on donnait au suivant, après deux heures passées dans la nuit glaciale.

Nous étions rongés par les poux, qui nous démangeaient constamment. Nous portions toujours les

mêmes vêtements, et nous n'avions jamais l'occasion de nous déshabiller. Cependant, nous avons

pu, à plusieurs reprises, passer à l’ « Entlasung allstand ». Nous nous y déshabillions, et nos

vêtements étaient passés à l’étuve, pour y tuer toute la vermine. Nous-mêmes étions mis dans une

pièce où circulait de la vapeur, pour éliminer les parasites. Mais l'efficacité du traitement ne

durait guère et dès notre retour aux tranchées, nous étions à nouveau envahis par la vermine. Les

mauvaises conditions d'hygiène amenaient également de nombreux rats et souris, que l'on

essayait d'empoisonner.

Les tranchées comportaient des abris où l'on pouvait dormir, ils s’y trouvaient des « lits » dont le

sommier était réalisé en maillage, sur lequel on posait notre « Zeltbahn », et l'on s'enroulait dans

une couverture. En hiver, nous pouvions disposer d'une seconde couverture et de notre manteau

pour nous garantir du froid.

Nous avions peu à manger et la faim était tenace. Heureusement, je recevais tous les quinze jours

des colis de nourriture envoyés par mes parents, qui contenaient du beurre, du lard, du jambon,

mais tout le monde n'avait pas ma chance. Je percevais du tabac, mais comme je ne fumais pas, je

pouvais en user comme monnaie d'échange contre du lait, qui me manquait beaucoup. Il y avait

plein de pommes, qui pouvaient faire un bon complément à notre nourriture trop rare. Le pain

nous était distribué pour trois jours, mais cette ration était bien souvent consommée dans la

journée même.

A l'armistice, les Russes sont venus nous voir les premiers, Entre les deux lignes de front coulait

une rivière, l’Onnintza, qu'ils traversèrent facilement à gué, avec de l'eau jusqu'à la ceinture. En

venant nous rendre visite, ils nous ont offert du pain blanc. Ils ne semblaient manquer de rien. Les 2

révolutionnaires pendaient des gens aux poteaux télégraphiques, et les laissaient là pendant

plusieurs jours.

J'étais ordonnance du Lieutenant Charles Volenbricher, dont la famille possédait une fabrique

d'outils à Cotteis bei Eberfeld, en Prusse Orientale. Cette fonction me permit de passer

tranquillement la guerre, car ce lieutenant était souvent en stage à l'arrière des lignes lors des

moments difficiles ou des batailles, me laissant en repos en arrière des premières lignes.

Nous nous sommes déplacés en Russie, vers la Galicée et Vilna. Lors de l'un de ces voyages,

nous avions mis nos équipements dans une partie de la gare où nous attendions notre train. Des

Autrichiens m'ont volé mon « Tornister », si bien que je n'avais plus d'affaires personnelles, et j'ai

dû lutter contre le froid pendant une semaine, dans les tranchées, sans manteau et sans vêtement

chaud, j'ai donc attrapé une sérieuse grippe, et j'ai passé trois semaines à l'hôpital avec 40° de

fièvre.

Après un second hiver en Russie, je partis pour la France, à Pâques 1918. Nous avons rejoint la

Somme, par train, depuis la Russie. Nous voyagions en wagons à bestiaux, durant trois jours, à

travers l'Europe, pour rejoindre Péronne, où nous nous retrouvâmes face aux Anglais. La 11e

Compagnie du 354e Régiment d'Infanterie, dont je faisais partie, était dans les tranchées, à subir

les bombardements ou à être victime des avions Anglais qui rasaient les tranchées en mitraillant

tout ce qui s'y trouvait, même un homme seul.

Les premières lignes étaient reliées aux arrières par un « Feldbahn », une ligne de chemin de fer,

qui allait jusqu'à Péronne. Les Allemands avaient d'ailleurs creusé des abris pouvant loger une

compagnie entière. Les seuls Anglais que j'ai vus à cette époque étaient des prisonniers.

Quelques temps après, nous avons été attaqués par les Anglais, appuyés par des chars. Voyant

cette attaque massive, nous nous sommes sauvés en courant. Nous avons ensuite rejoint le

Chemin des Dames, où nous étions en attente en seconde ligne, dans des abris creusés dans la

pierre, où l'on accédait par des tunnels. Nous avons ensuite rejoint Thiaucourt, où j'étais en

cantonnement pendant que mon lieutenant suivait un stage à Metz. Les Allemands pressentaient

une offensive Américaine dans ce secteur, pour le 16 septembre. Mon régiment était en premières

lignes.

Le 14 septembre 1918, à 2 heures du matin, les Américains ont déclenché un « Trommel Feuer »

qui a bouleversé les premières lignes. Un seul soldat de notre compagnie est revenu. Tous les

autres ont été tués, faits prisonniers ou blessés. Les Américains purent facilement enfoncer les

lignes allemandes, d'autant que les troupes étaient peu résistantes. On demanda des volontaires

pour aller transférer les blessés vers Novéant. Je me proposai et partis avec une colonne sanitaire.

Un des officiers de la colonne, assis sur son cheval eut la main tranchée par un éclat.

De Novéant, je tentai de rejoindre de la famille qui se trouvait à Moulins-lès-Metz. Je cheminai

vers Ars-sur-Moselle, lorsque je tombai nez à nez avec mon lieutenant, qui rappelé d'urgence vers

le front fut surpris de me trouver là. Après quelques explications, je m'en retournai avec

Volenbricher vers Thiaucourt. Ma tentative de désertion avait échoué...

Témoignage recueilli le 3 novembre 1990 par Patrice Lamy.

 

 

2. CHAMPLON Viktor (Victor)

                       

Né le 13 décembre 1896 à Velving

Décédé le 25 mai 1969 à Rémering-lès-Hargarten

Fils d’Antoine CHAMPLON et de DEMANGE Catherine

 

Régiment : Grenadier-Regiment Nr 5  5. Kompagnie

Situation : porté disparu.

Porté disparu une première fois le 26/10/1918 et une seconde fois le 08/07/1919. (Liste des victimes Nr 1480 du 08/07/1919 et Nr 1278 du 26/10/1918)

Ce 5ème régiment de grenadier était constitué de gardes de l'armée prussienne. En mai 1915, le régiment est revenu sur le front occidental, après avoir combattu à l’est et avait pris part aux combats en Flandre et en Artois puis avait rejoint la bataille de la Somme. Ensuite le régiment a combattu, entre autres encore à Arras, en Flandre et pendant l’offensive allemande de fin de mars 1918.

 

 

3. DEMANGE Viktor (Nicolas Victor)

 

Né le 22 mars 1887 à Velving

Décédé le 25 septembre 1966 Velving

Fils de Jean DEMANGE et de CHAMPLON Marie

 

Régiment : Reserve-Infanterie-Regiment Nr 252  7. Kompagnie

Situation : gravement blessé (Liste des victimes Nr 252 du 04/12/1916)

Le régiment faisait partie de la 76ème  division d’infanterie de réserve qui a combattu en Roumanie en 1916 sur les champs de batailles suivant, date de la blessure de Victor DEMANGE :

  • 26.09.1916 - 29.09.1916 : Schlacht bei Hermannstadt
  • 27.09.1916 :                     um Schellenberg, Bongard
  • 29.09.1916 - 04.10.1916 : Kämpfe um Fogaras
  • 29.09.1916 :                     Olthild und Sebes      südlich Rakowicza
  • 30.09.1916 :                     Porumbak
  • 30.09.1916 - 24.11.1916 : Gebirgskämpfe am Rothen-Turm-Paß
  • 05.10.1916 :                     Schlacht vor dem Geisterwalde (Teile)
  • 05.10.1916 :                     O. Sinka
  • 07.10.1916 - 09.10.1916 : Schlacht bei Kronstadt
  • 07.10.1916 :                     Angriff auf den Muscelulul
  • 08.10.1916 :                     Predeal und Szohodol
  • 09.10.1916 :                     im Vidombaktal
  • 10.10.1916 - 28.11.1916 : Gebirgskämpfe am Törzburger Paß
  • 11.10.1916 - 13.10.1916 : Also-Moecs
  • 16.10.1916 - 28.11.1916 : Kämpfe bei Dragoslavele, Mt. Matelas
  • 17.10.1916 :                     Mt. Magurei
  • 29.11.1916 - 30.11.1916 : Verfolgungsgefechte bei Campulung
  • 29.11.1916 :                     Stoenesti
  • 30.11.1916 : Cotenesti, Badeni,      Cetateni
  • 01.12.1916 - 05.12.1916 :      Schlacht am Arges
  • 03.12.1916 : Vulkana des sus
  • 03.12.1916 : Fieni
  • 04.12.1916 - 06.12.1916 :      Verfolgung über Podurile, Valea-Lunga, Ederlie-Magureni

 

4. DIEDRICH Simon

 

Né CRAUSER le 30 avril 1883 à Velving, fils de père inconnu mais reconnu par Pierre DIDRICH

+ disparu le 31 mai 1916

Fils de Pierre DIDRICH, né le 26 avril 1860 à Ottonville et de CRAUSER Marguerite de Rémering-lès-Hargarten

 

Régiment : Reservist Infanterie Regiment Nr ?  4. Kompagnie

Situation : porté une première fois sur une liste de disparus le 16/10/1915 puis une seconde fois le 31/05/1916 mais en tant que prisonnier.( Liste des victimes Nr 355 du 16/10/1915, Liste des victimes Nr 544 du 31/05/1916)

 

 

5. KLEIN Jakob (Jacques)

 

Né le 7 juillet 1893 à Velving

Décédé le 22 août 1960 à Arras

Fils de KLEIN Jacques, garde barrière, et Suzanne FISCHER

 

Régiment : ???

Situation : gravement blessé. (Liste des victimes Nr 753 du 07/02/1917)

 

 

6. SCHLITTER Nikolaus (Jean Nicolas)

                       

Né le 25 janvier 1896 à Velving

Décédé le 4 septembre 1956 à Conthil

Fils de SCHLITTER Georges et HARTER Marie

Mariage le 2 février 1933 à Conthil avec CHAPPELIER Marie Catherine Stéphanie.

 

Régiment : Fussartillerie-Bataillon Regiment Nr 137  1. Batterie

Situation : légèrement blessé (Liste des victimes Nr 1304 vom 29/11/1918)

 

La 123e Division d'infanterie dont fit partie le 137ème bataillon d’artillerie à pied a d‘abord combattu sur le front occidental, dans l'Aisne à la mi-Avril 1915. Plus tard en 1915, il a pris part aux combats de Loos près de Lille. Il est resté sur le front dans les régions Flandre et Artois en 1916, et en Juillet 1916 il est engagé dans la bataille de la Somme, où il aurait perdu 6000 hommes. Il a été transféré sur le front de l'Est à la fin du mois de juillet 1916, où il a combattu près du lac Narac jusqu'en novembre 1917, quand il est revenu sur le front occidental. Il a ensuite été engagé près de Verdun jusqu'au mois de mai 1918. Plus tard, on le retrouve engagé dans la deuxième bataille de la Marne puis est retourné près de Verdun. Vers la fin de 1918, il fait face à l‘offensive des alliés en Meuse-Argonne. Il y est resté jusqu'à la fin de la guerre.

 

 

7. SCHMIDT Georg (SCHMITT Georges)

                         

Né le  18/03/1890 Velving

Décédé le 24 août 1914 tombé lors de la bataille de Baroncourt

 

Regiment : Infanterie-Regiment Nr 167, II. Bataillon, 6. Kompagnie (Ober-Elsässisches Infanterie-Regiment Nr 167)

Situation : Georges est cité sur le monument aux morts de Velving , il a sans doute succombé à ses graves blessures.

(Liste des victimes Nr 279 du 20/07/1915)

Le régiment est resté actif du 31 mars 1897 à décembre 1918. C‘était un régiment d’infanterie prussien du XIème corps d’armée stationné à Kassel et Mülhausen/Thüringen

Le régiment s’est rendu le 2 Août 1914 sur le front occidental. Après de lourdes pertes dans la région de Sancourt, le premier et le deuxième bataillon ont été dissous le 29 Septembre 1914.

 

 

8. SCHMIDT Julius (SCHMITT Jules)

                       

Né le 25 février 1894 à Velving

Fils de SCHMITT Jean et KREMER Elisabeth

 

Regiment  : Jäger Batallion Nr 11, 3. Kompagnie

Situation : gravement blessé (Liste des victimes Nr 253 du 19/06/1915) à la bataille de la Bassée du 7 mai au 23 juillet 1915.

 

Le régiment participa à de nombreuses batailles en  1915 :

  • Jusqu’au 6. Mars 1915, près de Richebourg Avone
  • Du 7 au 9 mars 1915, près de Neuve Chapelle
  • Du 10 au 14 mars 1915, à la bataille de Neuve-Chapelle
  • Du 20 mars au 8 mai 1915, au bataille de position des Flandre françaises près de Auchy-chez-la-Bassée
  • Du 7 Mai au 23 juillet 1915, à la bataille de La Bassée
  • Du 24 Juillet au 24 septembre 1915, au bataille de position des Flandre françaises près de Auchy-chez-la-Bassée
  • Du 25 septembre au 13 octobre 1915, à la bataille d’automme près de La Bassée.

 

 

9. SCHMITT Emil (Emile)

                       

Né le 12 mars 1888 Velving

Décédé le 12 avril 1966 Vitry sur Orne

Fils de SCHMITT Jean et KREMER Elisabeth

Mariage le 10 mai 1920 Vitry sur Orne

 

Régiment : Musketier II. Bataillon, 6. Kompagnie

Liste des victimes du 02/02/1915. Légèrement blessé

 

 

10. SCHMIDT Jakob II (SCHMITT Jacques)

                       

Régiment : un régiment de réserviste, 4ème Compagnie

Situation : blessé, apparait sur une liste des pertes du 09/10/1914.

Puis on le retrouve sous (sans doute la même personne)

 

SCHMITT Jakob (SCHMITT Jacques)

(Peut-être la même personne que précédemment)

Né le 13 juin 1889 à Velving

Décédé le 8 juillet 1953 à Velving

Fils de SCHMITT Jacques, cordonnier de Velving et LEONARD Marie Louise de Monneren

 

Régiment : Infanterie-Regiment Nr 131, Réserviste  11ème Compagnie, caserne de Morhange

Situation : légèrement blessé. (Liste des victimes du 28/10/1915)

Ce régiment a combattu lors des premières batailles de frontière en aout 1914 puis à Lagarde

Blessé en octobre 1915, Schmitt Jakob a combattu en Russie blanche, aujourd’hui Bélarus

 

 

42. Infanterie-Division   (Westfront)

31.07.-16.08.1914

Grenzschutz gegen Frankreich

11.08.1914

Lagarde

18.08.-19.08.1914

Lauterfingen-Mittersheim

20.08.-22.08.1914

Schlacht in Lothringen

22.08.-13.09.1914

Schlacht vor Nancy-Epinal

23.09.-06.10.1914

Schlacht an der Somme

07.10.-10.10.1914

Stellungskämpfe westlich St.   Quentin

11.10.1914-22.01.1915

Stellungskämpfe an der Somme

19.01.-03.02.1915

Transport nach dem Osten

 

42. Infanterie-Division   (Ostfront)

04.02.-22.02.1915

Winterschlacht in Masuren   (Schlacht bei Lyck)

23.02.-06.03.1915

Gefechte am Bobr

09.03.-12.03.1915

Gefechte bei Sejny

25.03.-30.03.1915

Gefechte bei Krasnopol und   Krasne

31.03.-20.07.1915

Stellungskämpfe zwischen   Augustow, Mariampol und Pilwiszki

21.07.-07.08.1915

Kämpfe an der Jesia und bei   Wejwery

08.08.-18.08.1915

Belagerung von Kowno

19.08.-08.09.1915

Njemen-Schlacht

09.09.-02.10.1915

Schlacht bei Wilna

31.10.1915-19.04.1017

Stellungskämpfe zwischen   Narotsch-See-Tweretsch

 

 

 

12. SCHMITT Joseph

                       

Né le 31 décembre 1894 à Velving

Décédé le 19 juin 1969 Guerstling

Fils de SCHMITT Jacques, cordonnier de Velving et LEONARD Marie Louise de Monneren

 

Régiment non mentionné

Situation : légèrement blessé (Liste des victimes 945 du 24 Septembre 1917)

 

 

 

13. SCHMITT Peter (SCHMITT Pierre)

 

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Né le 5 janvier 1883 à Velving

Décédé le 14 avril 1916 tombé sur la côte de Vaux le 22/03/1916

Fils de SCHMITT Jacques, cordonnier de Velving et LEONARD Marie Louise de Monneren

 

Régiment : Pionier-Regiment Nr 20, 1ste Reserve Kompagnie

Situation :  tombé au champ d’honneur (Liste des victimes Nr 560 et Nr 260. du 14. avril 1916)

 

Ces 2 photographies (cartes postales) sont attestées représenter ce régiment avec date de Feldpost 18.09.1915

Pierre y figure sans aucun doute car cette carte postale a été envoyée à ses parents, Jacques et Marie Louise

 Sans titre schmitt1.png

 Sans titre schmitt2.png

 

 

14. SCHNEIDER Nikolaus

                       

Fils de SCHNEIDER Jean et ROSE Catherine Elisabeth ???

Né le 11 mars 1876 Velving

Décédé le 7 mai 1964 Velving

Situation : légèrement blesse (Liste des victimes Nr 1202 du 30 juillet 1918.)

 

 

15. WEBER Johann (Jean)

 

Régiment : Infanterie Regiment Nr 130  I. Bataillon   4. Kompagnie

Situation : légèrement blesse (Liste des victimes Nr 945 vom 9 février 1915.)

Le régiment a combattu en Forêt d’Argonne depuis le 25 septembre 1914 jusqu’au 31 décembre 1915

 

16. VENNER Claude

 

 Né le 09/02/1884 Velving

Tombé dans les combats de Cernay le 20/03/1915

 

17. SCHMIDT ou SCHMITT    Alfons (Alphonse) ?????????

 

Né le 03/07/1890 Velving

Régiment : Feldartillerie-Regiment Nr 70, 1. Batterie

Gefreiter, caporal, décédé au Regiments Lazarett Grand-Pré le 23/01/1915

 

 

Sources :

- archives personnelles

- Liste des pertes allemandes de la première guerre mondiale

 



06/09/2016
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